Je cours “La Diagonale des Fous” pour soutenir l’action de l’Adie auprès des entrepreneurs locaux
Bonjour,
Je m'appelle Isabelle, j'ai 47 ans, originaire de La Réunion, je suis passionnée par la course à pied et aujourd'hui à la tête d'un salon de coiffure à La Rochelle qui fête ses 10 ans !
Au début de mon aventure entrepreneuriale, je n’avais pas accès au crédit bancaire, c’est pour cette raison que je me suis tournée vers l’Adie. L’association, spécialiste du microcrédit en France, m’a fait confiance, m'a financée et accompagnée pour ouvrir mon salon de coiffure. Aujourd’hui, mon activité se porte bien, je suis toujours en contact avec les conseillers et bénévoles de l’Adie et j’aimerais à mon tour aider d’autres entrepreneurs à se lancer.
C'est pour cela que je me suis lancée un défi : courir au profit de l'Adie le célèbre ultra trail, reconnu comme le plus dur au monde, le Grand Raid de la Réunion surnommé la Diagonale des Fous. Un parcours de 165 km et de 10 000 mètres de dénivelés positifs et négatifs sur les sentiers escarpés de la Réunion.
Si je cours pour l’Adie, c'est pour dire aux gens qui ont envie de créer leur entreprise d'aller au bout de leur rêve. En me voyant courir, je voudrais qu’ils se disent que tout est possible, que quand on veut, on peut atteindre ses objectifs et que pour y parvenir, il y a des gens pour nous accompagner. L'Adie permet de concrétiser ses rêves. Elle m'a permis de concrétiser les miens.
Pour me soutenir dans cette aventure, vous pouvez faire un don !
100% de l’argent collecté sera reversé à l’Adie pour aider des entrepreneurs partout en métropole ou en Outre-mer dont les projets n’ont pas accès au crédit bancaire.
Merci !
Isabelle
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Depuis plus de 30 ans, l’Adie défend l’idée que chacun, même sans capital, même sans diplôme, peut devenir entrepreneur s’il a accès au crédit et à un accompagnement professionnel, personnalisé, fondé sur la confiance et la solidarité. L’Adie adresse son action de façon prioritaire aux personnes en difficulté d’insertion professionnelle : - 35% des bénéficiaires de l’Adie perçoivent les minimas sociaux - 43% vivent en-dessous du seuil de pauvreté - 22% vivent dans un quartier prioritaire de la politique de la ville - 26% n’ont pas de diplôme